Notre expertise : Prévenir, accompagner, gérer les situations de crise, tout en étant présents dans les phases de redressement et de croissance externe.
« À vos côtés, pour éviter le pire et construire le meilleur… »
Au sein de CID & Associés, nous savons que la vie professionnelle n’est pas un long fleuve tranquille et nous croyons aux valeurs d’entraide et à l’importance d’un accompagnement positif.
Nous mettons donc nos compétences, expertises et expériences de vie au service des chefs et cheffes d’entreprise, particulièrement quand ils/elles rencontrent des difficultés. Nous les écoutons. Nous connaissons leur vulnérabilité face à une crise qui frappe l’entreprise qu’ils/elles dirigent, la difficulté de prendre certaines décisions, le sentiment d’infinie solitude qui peut les assaillir et leur faire perdre le sommeil. Mais nous croyons également à leur capacité de maintenir le cap, voire en changer quand cela s’avère nécessaire et de se dépasser pour autant qu’il/elle se sente soutenu·e, accompagné·e, rassuré·e sur ce qui peut être fait ou non.
Il est fréquent qu’un parcours professionnel présente des fractures. La façon dont l’entreprise et son/sa/ses dirigeant·e·s franchissent les obstacles, se positionnent et avancent n’est jamais le fruit du hasard. L’anticipation et savoir s’entourer sont les clés de la résilience.
Fort de son expérience, CID & Associés accompagne également les opérations de cession et de prises de participation responsables (distressed M&A) et de développement qui sont un prolongement naturel de son activité principale et du cycle de vie des entreprises.
Pour pouvoir réunir rapidement les expertises complémentaires nécessaires qu’elles soient juridiques, comptables ou financières mais également en matière de ressources humaines, de management ou de marketing… nous avons noué des relations fortes avec des professionnels issus d’autres métiers indispensables au retournement de l’entreprise.
Nous faisons le choix d’une organisation bâtie sur des partenariats structurants et durables avec ces professionnels aux compétences reconnues pour disposer en toutes circonstances, dans des délais rapides, des ressources adaptées aux enjeux.
Parce que nous savons travailler en synergie, nous mettons en commun nos expériences et savoir-faire comme autant de leviers pour mieux comprendre les situations afin de construire les solutions adaptées aux personnes et permettant de remédier aux problèmes.
Une équipe soudée et diverse dans le respect des valeurs RSE
Un double statut d’avocat et d’administrateur judiciaire, dotée d’une âme entrepreneuriale et ouverte à l’international.
Des équipes en commun avec O3 Partners
Dans un environnement marqué par des cycles et des crises, l’entrepreneur doit savoir se faire assister
Depuis 2020, des crises d’une rare violence ont fragilisé le tissu économique et bousculé l’activité de nombreuses entreprises quelle que soit leur taille, aucune n’est protégée. La crise sanitaire n’est pas la première qu’affrontent les entreprises mais elle a frappé par son ampleur et son caractère global qui ont justifié les réponses exceptionnelles des gouvernements.
Les entreprises ont été soutenues par l’État et les conséquences immédiates contenues. Cependant, avec la fin de la politique du « quoi qu’il en coûte » et le début des mesures de recouvrement des administrations fiscales et sociales, certaines d’entre elles sont ou vont être confrontées à des situations économiques et financières inextricables auxquelles elles ne pourront faire face avec leurs ressources habituelles.
Au-delà des crises globales et cycliques, les causes des difficultés rencontrées par les entreprises sont multiples et peuvent aussi bien être liées :
À des facteurs internes / endogènes, qu’ils soient techniques ou humains :
Ou bien être liés à des facteurs exogènes :
Alors c’est l’ensemble de la chaîne de valeur (production, logistique, distribution, etc.), de la filière dont l’entreprise est un maillon qui en subit les conséquences.
En revanche, sa dynamique d’entrepreneur peut le pousser à ignorer ou à minimiser les signaux de faiblesse. La continuation d’exploitation peut alors être remise en question.
Dès que les difficultés se profilent, le facteur temps est important. Le chef d’entreprise doit agir avec célérité, dans un calendrier court qui conditionne l’efficacité des mesures qu’il entend prendre.
De plus, le délai de 45 jours fixé par la loi dès lors que l’état de cessation des paiements est avéré opère comme une date butoir.
Ne pas agir, c’est obérer ses chances de succès et engager sa responsabilité. Le maître-mot est donc l’anticipation. En abordant ses partenaires suffisamment en amont, l’entreprise préserve sa relation de confiance avec ceux qui doivent l’accompagner et l’aider à se redresser.
Le travail d’analyse des causes réelles des difficultés demande un certain courage et de l’objectivité dans un moment où l’on peut se sentir seul, démuni.
Il faut pourtant lutter contre ces sentiments, accepter sa vulnérabilité et partager ses craintes sans pour autant projeter son angoisse et créer un environnement délétère au sein de l’entreprise.
Il faut aussi pouvoir prendre du recul, échanger avec des conseils de confiance et prendre en compte les différents points de vue : commercial et marketing, juridique, comptable, fiscal (liste non limitative…) et ceux des hommes et femmes qui composent l’entreprise.
Tout n’est jamais entièrement de la faute des autres. Il faut savoir reconnaître sa part de responsabilité et accepter d’entendre les critiques.
Ce travail d’analyse se traduit parfois par un douloureux sentiment de perte. Il faut savoir se faire aider, pour accepter de perdre ce qui était, et avancer vers ce qui sera. C’est une expérience éprouvante mais il y a toujours un après.
Pour cela il faut se faire assister dès l’apparition des premiers symptômes et réunir des professionnels expérimentés ayant l’habitude de la gestion de crise, de celles qui peuvent balayer tel un tsunami une entreprise non préparée à l’affronter.
Pour prendre les bonnes décisions, le dirigeant se tourne vers ses conseils habituels, expert-comptable, avocat, mais face à la brutalité et la complexité de ces situations, à la remise en cause qu’elles provoquent et aux risques induits, ils peuvent, ensemble, trouver nécessaire de disposer de ressources spécialisées complémentaires et d’échanger pour valider leur diagnostic et limiter les risques qui naissent dans cette période de trouble.
CID Avocats se rend disponible pour échanger avec l’entreprise et ses conseils et leur apporter un éclairage différent et donc utile pour prendre les décisions opportunes.
Après le moment de cristallisation de la crise, après la remise en cause de certitudes trompeuses par la phase de diagnostic, parce que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, il est urgent d’y remédier.
Les ressources de l’entreprise sont toutes entières tournées vers un objectif vital : préserver le souffle de la société par l’accélération du recouvrement des créances clients, la mobilisation du compte clients, des demandes de délais… et un intense effort commercial est engagé mais cela n’est pas toujours suffisant.
L’entreprise connaît généralement ses faiblesses et identifie les actions à mener mais elle a parfois besoin d‘aide pour y porter remède.
Lorsque les mesures de restructuration en interne ne suffisent pas, lorsque la trésorerie ne permet aucune flexibilité, lorsque l’état de cessation des paiements se profile, alors il faut envisager les procédures préventives ou collectives selon le niveau de dégradation de la situation de l’entreprise.
Fort du traitement par Isabelle Didier et ses collaborateurs de plus de 6000 procédures collectives, que ce soit comme administrateur judiciaire, mandataire judiciaire, ou comme avocat, CID Avocats a une parfaite maîtrise de l’ensemble des outils qu’offre la loi :
Mais également la gestion pour le compte d’autrui au travers des administrations provisoires ou des liquidations amiables.
Sous l’influence du droit international, les procédures de traitement de l’insolvabilité visent à en réduire l’impact négatif en préservant les relations avec les créanciers et en favorisant des solutions et des plans auxquels les créanciers adhérent.
La procédure de sauvegarde accélérée avec classes de parties affectées, semi collective, s’avère être une solution efficace où la société si elle convainc ses créanciers de lui faire confiance, peut obtenir d’eux des efforts significatifs. Il convient de leur démontrer que la valeur de cession de l’entreprise ne permettrait pas d’obtenir de meilleures conditions d’apurement.
La brièveté de cette procédure limite également la période au cours de laquelle l’exploitation de l’entreprise est suivie par un administrateur judiciaire et les relations avec son environnement sont perturbées.
CID Avocats a collaboré avec Yves Brulard (DDO Defenso), Jérôme Lépée (ADALTYS) et O3 Partners pour la mise en œuvre de la première application de l’ordonnance du 15 Septembre 2021. La négociation, les explications fournies aux créanciers ont abouti au plan voté par les classes de créanciers et adopté par le tribunal.
Un an après, l’absence d’effets domino sur les fournisseurs, le maintien de la confiance des clients, l’embauche de nouveaux collaborateurs ont permis de redéployer l’activité. Ces éléments très positifs et l’exécution des premiers remboursements prévus au plan démontrent l’intérêt de ce type de procédure. Elle permet de bâtir des propositions sur mesure pour les créanciers. Elle s’adresse spécifiquement aux sociétés heurtées par une crise dont le modèle économique est pérenne.
Certes les procédures collectives sont publiques, certes, en fonction de seuils, la présence d’un administrateur judiciaire, aux côtés du chef d’entreprise présente une certaine lourdeur et un coût mais si une bonne relation se noue, l’assistance d’un administrateur judiciaire peut être un outil efficace au service de l’entreprise. Il/elle sert de barrière à ceux des créanciers qui ne conçoivent pas de ne pas être payés, il/elle favorise la poursuite de relations pendant la période d’activité. Il/elle rassure, permet la rupture de contrats déséquilibrés et sert de lien avec la juridiction et le Ministère Public.
Certaines activités sont moins sensibles que d’autres au caractère public et à l’image de la procédure de redressement judiciaire.
Dans de tels cas, la solution de plan d’apurement du passif homologué par le tribunal après consultation des créanciers (dont l’avis ne lie pas la juridiction) est une solution qui a fait ses preuves et nombreux sont les plans qui ont été conduits à leur terme permettant à l’entreprise de renouer avec la croissance.
Dans un environnement économique et politique de plus en plus instable, il faut garantir un droit à l’échec.
Parce qu’elle a été mandataire judiciaire pendant 18 ans, Isabelle Didier a été amenée à s’interroger sur l’efficacité des mesures de sanctions que contient le droit des procédures collectives destinées à assurer la prophylaxie des activités commerciales qu’elle devait mettre en œuvre.
Parce que la nature de la sanction et son quantum peuvent différer fondamentalement selon la juridiction, le juge ou le professionnel, les sanctions commerciales ne remplissent pas l’objectif que la loi leur prête.
Confier l’analyse des griefs aux mandataires liquidateurs, c’est parfois prendre le risque de l’arbitraire. Un dirigeant qui remet en cause de façon maladroite une décision de ce professionnel peut craindre de se voir sanctionné.
Le droit international apporte des modifications profondes au droit de l’insolvabilité en imposant le principe de bonne foi du dirigeant et le droit à l’erreur et au rebond.
Ces évolutions quasi philosophiques et fondamentales, indispensables pour préserver l’esprit d’entreprendre ne sont pas encore rentrées dans toutes les pratiques.
Il faut que l’analyse de l’opportunité des sanctions par les organes de la procédure repose sur les éléments de contexte qui ont conduit à la procédure collective.
Inversement, il appartient au chef d’entreprise de veiller à accorder du temps aux professionnels pour expliquer le contexte, coopérer et fournir l’ensemble de la documentation comptable et juridique favorisant le recouvrement des actifs et la vérification du passif.
La décision d’effectuer une déclaration de cessation des paiements qui n’est pas accompagnée d’une aggravation du passif ou de moyens ruineux pour poursuivre l’activité n’est pas répréhensible.
Au-delà de l’accompagnement et l’écoute professionnels que nous offrons, nous ne pouvons que recommander au chef d’entreprise de se faire aider à titre personnel pour être en capacité d’aider son entreprise et de préserver ceux qui lui sont chers. Il existe des professionnels dont l’aide peut être précieuse. Il existe des associations qui sont des lieux d’échanges entre pairs. Il est essentiel de savoir que cette douloureuse expérience a été vécue par de nombreux autres: chef d’entreprise, artisan, professionnel libéral, agriculteur et qu’il y a un après, différent mais riche de l’expérience vécue.
Dans un groupe, la période qui précède la décision d’effectuer une déclaration de cessation des paiements ou une demande de sauvegarde est un moment particulièrement délicat.
Les prises de décisions qui concernent une entité entraînent des conséquences sur les autres sociétés du groupe.
Le management est confronté à des situations schizophréniques où les flux de trésorerie sont autant de décisions complexes.
Il peut être judicieux dans de telles circonstances de mettre en place un comité consultatif et d’y associer des conseils extérieurs pour apprécier l’opportunité de telles ou telles décisions et de les documenter.
Le risque de sanction civile ou pécuniaire contre le dirigeant, l’administrateur, le gérant de fait est réel de même que les cas de banqueroute pour avoir favorisé une autre société dans laquelle il avait un intérêt.
Au-delà de l’accompagnement et l’écoute que nous pouvons apporter, nous ne pouvons que recommander de casser le cercle de la solitude.
Les actes accomplis pendant une période dite suspecte, et qui peut aller jusqu’à une durée de 18 mois avant l’ouverture d’une procédure collective, peuvent être annulés par le Tribunal.
Il s’agit d’annulation le plus souvent de paiements considérés comme préférentiels alors que la société était en état de cessation des paiements ou de mise en place de sûretés ou d’une fiducie pour garantir des dettes antérieures.
Afin de sécuriser certaines opérations, il est utile de soumettre à l’analyse a priori les actes susceptibles d’être ultérieurement remis en cause. Nous pouvons vous accompagner dans cette réflexion qui est tant juridique que financière.
Isabelle DIDIER et ses collaborateurs s’impliquent au quotidien aux côtés des dirigeants.
Des échanges avec les équipes et les conseils historiques de l’entreprise sont recherchés pour obtenir une vue exhaustive de la situation et apprécier l’ampleur de la crise vécue par l’entreprise, afin de déterminer les solutions possibles.
Les relations de confiance qui sont ainsi nouées canalisent le stress et favorisent l’émergence de solutions réalistes et pragmatiques dans le respect de la loi et de l’humain.
Pugnacité, imagination et agilité sont des termes que l’on associe fréquemment au cabinet.
Quel que soit le mandat confié, CID Avocats assure à son client (créanciers, clients, repreneurs…) le même engagement.
Après des échanges nourris avec le dirigeant et ses équipes, mais également les conseils habituels, et l’étude de la documentation disponible, CID Avocats livre son analyse de la situation et propose des axes d’action.
L’objectif poursuivi est de réunir les compétences pour bâtir un plan stratégique réaliste que l’entreprise et les hommes et femmes qui la composent peuvent assumer.
CID Avocats apporte son expertise et le fruit de son expérience pour permettre au dirigeant de faire le juste choix parmi les solutions envisagées en attirant son attention sur la nécessité de prendre en compte les intérêts de l’ensemble des parties prenantes et sur les éventuels risques induits par les choix.
CID Avocats prend en compte et intègre la capacité de résilience et la volonté du dirigeant et de ses équipes pour imaginer, expliquer et bâtir les options de sortie de crise adaptées aux facteurs humains.
C’est en dégageant des solutions respectueuses des intérêts de l’ensemble des parties prenantes qu’Isabelle DIDIER et les experts qui l’accompagnent sont en mesure d’aider l’entreprise à renouer des liens de confiance avec ses collaborateurs et ses partenaires, facteur de pérennité de l’entreprise.
De même, la démarche de CID Avocats visant à préserver l’équilibre entre les intérêts en présence et à réduire le préjudice des tiers en fait un interlocuteur fiable pour des créanciers et des co-contractants souhaitant intervenir de manière constructive dans les procédures collectives et ainsi préserver leurs intérêts.
Nous mettons notre expertise et notre énergie au service de l’entreprise et de son dirigeant pour préserver l’activité et l’emploi, dans le respect des intérêts parfois contradictoires des parties prenantes.
Nous voulons protéger la capacité d’entreprendre du dirigeant, son moral et celui de ses équipes, leurs valeurs, leur savoir-faire et leur fierté.
Nous savons faire part de notre analyse et des solutions qui en découlent avec pédagogie et respect, particulièrement quand le constat doit être fait d’une incapacité à redresser l’entreprise.
Une fois la décision prise, nous sommes en mesure d’expliquer et de défendre le projet retenu devant les parties prenantes et les autorités amenées à juger de leur pertinence.
Une fois l’état paroxystique de la crise traité, l’entreprise doit continuer sa réflexion et sa mutation pour que la prise de conscience, fruit du diagnostic sans concession, imposée par la crise, concomitante à l’intervention de conseils externes ne reste pas sans suite.
Il faut profiter de ce climat de tension pour mettre en place les décisions garantissant la continuité de l’activité, la stabilité de son modèle et sa rentabilité ainsi que la préservation des ressources humaines.
Les conseils, qui ont participé au diagnostic, aideront à la hiérarchisation des objectifs.
Nos plus grandes fiertés :
CID Avocats propose aux conseils habituels de l’entreprise (avocat, expert-comptable), de leur apporter une aide et des compétences spécifiques issues du double statut d’avocat et d’administrateur judiciaire afin de leur permettre d’accompagner leur propre client qui rencontre des difficultés.
La mise à disposition de ces compétences permet au conseil habituel de préserver sa relation avec son client tout au long de la phase de traitement de la crise et au-delà.
Des partenariats bâtis sur le respect professionnel réciproque, noués avec les conseils habituels de l’entreprise, ainsi qu’avec des sachants-experts du secteur où évolue l’entreprise en difficultés, couplés avec la parfaite connaissance du domaine de la restructuration permettent à CID Avocats de comprendre les enjeux de l’entreprise au sein de sa filière, ses atouts et ses faiblesses et d’orienter le choix de la solution à retenir.
Fin 2020, Isabelle Didier ouvre le capital de la selarl d’administrateur judiciaire qui devient O3 Partners, première et à ce jour, seule société pluriprofessionnelle d’exercice (SPE) réunissant les trois professions d’administrateur judiciaire, d’avocat et d’expert-comptable.
La structure qui est composée de 7 associés et peut compter sur une centaine de collaborateurs, dispose de bureaux à Paris (75), Nice (06), Poissy (78) et Rueil-Malmaison (92).
Le partenariat structurant, mais non exclusif, avec la SPE O3 Partners permet à CID Avocats de bénéficier de compétences d’experts en matière financière. Grace à cette expertise, CID Avocats élabore l’ensemble de la documentation nécessaire pour structurer les plans et recueillir le soutien des créanciers. Il analyse de façon circonstanciée les opérations susceptibles d’être remises en cause et d’engager la responsabilité du chef d’entreprise. Et peut ainsi grâce à l’évaluation de l’entreprise cible, accompagner avec pertinence un repreneur dans ses opérations de croissance externe.
Une restructuration et les négociations qu’elle suppose dépassent fréquemment le territoire national et nécessitent l’assistance et les compétences de professionnels hors de nos frontières. Parce que Isabelle Didier, en sa qualité de présidente du GRIP 21, intervient depuis 30 ans comme expert au sein du Groupe V de la CNUDCI et de la Banque Mondiale, elle offre à ses clients un important réseau professionnel international né de cette participation et la maîtrise des MARD, favorisant l’émergence de solutions équilibrées.
Depuis 20 ans, l’Institut de l’Entreprise, IDEP a entrepris d’assurer la formation de membres issus d’environnements variés. Isabelle Didier a bénéficié de cette incroyable opportunité. La formation dispensée par l’IHEE a fortement marqué chacun·e des auditeur·rice·s. La présentation de l’engagement RSE des groupes membres de l’IDEP s’est traduite chez nombre de auditeurs·rices par des évolutions ou des choix de carrière directement issus de cette étape de leur vie professionnelle.
L’engagement de CID Avocats de contribuer à rendre plus responsable le Second Marché des Entreprises, a conduit à une réflexion en matière de ventes et reprises responsables avec Green Angels, et Réseau 137.